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Tonton Michel et Tonton Pierre mettent le feu…

et appellent les pompiers !

Tonton Pierre et sa doublure lumière, Tonton Michel, n’ont aucune vision au-delà de la prochaine date des élections à venir. Comme nous l’avons vu tout au long des 28 épisodes précédents, l’unique obsession des deux édiles mantais est de se maintenir en place. Pourquoi autant d’efforts déployés à l’aide de si détestables méthodes ?

 

 

Au-delà des légitimes ambitions politiques des uns et des autres à vouloir développer un territoire pour le bien-être de ses habitants… Bon, arrêtons les conneries sur l’idéal Républicain.

            Dans le Mantois les ambitions collectives de l’équipe en place se limitent comme nous l’avons vu aux amis, à la « famille » ainsi qu'aux femmes et aux hommes susceptibles de maintenir les choses en l’état.

Malheureusement, Mantes-la-Jolie et le département des Yvelines ne sont pas des exceptions. Des prédateurs politiques, de droite et de gauche, sévissent avec les mêmes méthodes sur une bonne partie du territoire et cela depuis des décennies.

            En 2006, Tonton Pierre avait été condamné, notamment, pour des faits de corruption. Le président du tribunal correctionnel avait déclaré à cette occasion que «Pierre Bédier (avait) gravement porté atteinte à l'autorité de l'Etat, à des fins personnelles, et (avait) trahi la confiance que les citoyens avaient placé en lui pour les représenter»

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Nous sommes aujourd’hui en 2016, soit dix ans plus tard. Nous ne sommes pas juristes, mais il apparaît à nos yeux « innocents » que certaines des méthodes employées par Tonton Pierre depuis son retour aux affaires ressemblent dans la forme à celles dénoncées et sanctionnées par la Justice en 2006.

            Et, au-delà de l’aspect purement juridique des choses, c’est les moyens déployés par Tonton Pierre qui sont critiquables.

            L’emploi, même patrtiel, de fonds publics à des fins autres que celles initialement définies sont les signes évidents de graves dérives. Maintenir des populations déracinées et donc fragilisées sous la coupe réglée d’un communautarisme dévoyé et manipulé par les satrapes de Tonton Pierre ce n’est pas autre chose que du néocolonialisme. Et le mépris est sans doute le pire des aspects de la soumission d’une population.

            Les centaines de millions d’euros (de l’Europe et de l’Etat pour l’essentiel) mobilisés année après année pour remédier à l’habitat au Val-Fourré, notamment, n’y ont rien changé : l’ancienne plus grande ZUP d’Europe a certes une physionomie plus présentable, mais reste un territoire de conquête politique sans foi ni loi pour celui qui veut régner sur Mantes-la-Jolie. Les règles mises en place par Tonton Pierre sont peu reluisantes : clientélisme, « balkanisation » des quartiers, prévarication, népotisme, favoritisme… Entre promesses démagogiques et abandons des valeurs Républicaines, Tonton Pierre et ses Tontons Macoutes occupent le terrain.

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